30.4.13

1306- Paris shooting backstage, L’Officiel Turkey May 2013 w/ Barbara Palvin



Voilà enfin la vidéo des coulisses du shooting avec Barbara Palvin que j'ai réalisée pour L'Officiel Turquie qui a eu lieu le février dernier. L'attente a été longue et difficile. J'en garde toujours autant de bons souvenirs de cette journée en tant que assistant-photographe et photographe/filmeur de coulisse et j'espère pouvoir revivre ce genre d'expérience très bientôt. Sinon, il semble que les choses commencent à s'arranger: la période de creux semble prendre fin et je commence à avoir pas mal de choses à faire. Jusqu'ici tout va bien.
(Est-il encore nécessaire de vous conseiller de visionner la séquence en HD?)
Le petit article sur le site de L'Officiel Turquie.

29.4.13

1305- L'ennui


Voilà une petit petit cliché "trouvé" fortuitement, sans mise en scène. Une photo shooté vers 4h du matin, -après un dimanche honteusement remplie par la fainéantise, les errances inutiles et interminables sur l'internet et les jeux vidéos- qui a déclenché en moi une petite envie d'expérimenter un peu plus l'exercice de la nature morte. Cela pourrait peut-être assouvir mon envie de produire plus d'images et différentes de celles que je fais habituellement.

27.4.13

1304- Un saut à Colmar


   Jour pluvieux en Alsace, un temps idéal pour voir de l'ailleurs. On prend la voiture et un va faire un tour à Colmar. Baden Baden qui était notre première destination attendra un peu. Ville natale du grand sculpteur Auguste Bartholdi, sa création la plus connue, la Statue de la Liberté nous accueille avec un air grave et solennel. Malgré la pluie, on prendra le temps de se perdre une heure dans le très joli centre historique avant de repartir rapidement. Le froid en plus de la pluie nous a vite dissuadé d'y passer plus de temps. Une sortie rapide qui fait tout de même du bien.
Je vais essayer de me bouger un peu plus pour me promener un peu plus pour éviter de m'enraciner dans l'inactivité et l'oisiveté. Chose pas facile avec le retour du mauvais temps.

26.4.13

1303- Interlude


En attendant les prochains projets à venir et publiés... une interlude.

25.4.13

1302- Zut! Magazine Lorraine


"Ha désolée, l'ironie ne se voit pas par écrit"
Voilà une nouvelle publication. Mes images du défilé de Dior déjà publiées dans le dernier Zut! Strasbourg. Après Strasbourg, le magazine strasbourgeois continue son expansion dans le territoire français avec une publication spéciale lorraine, messine (de Metz donc), et j'en oublie. Vous pourrez donc lire le dernier numéro en question juste ici.

24.4.13

1301- Un bout de canapé


Je me souviens que l'année dernière, quand je n'avais plus d'appartement à Srasbourg et que je commençais à faire mes allers-retours Strasbourg-Paris, j'étais bien content de compter sur des proches pour m'héberger le temps de quelques nuits. J'ai aussi construit de jolis souvenirs en faisant du couchsurfing chez des inconnus l'été dernier. Je regrette un peu de ne pas avoir pu plus donner de petits coup de mains et de ne pas avoir eu beaucoup d'amis qui ont fait le déplacement jusqu'à Strasbourg. Les beaux jours arrivent, ils changeront sûrement d'avis.

1300- Le monstre - La générale @ CREPS Strasbourg


Après le filage, la générale. La grande répétition avant la représentation. Je découvre le bonheur, la liberté de faire des images lors cette étape où je peux circuler où bon me semble, enjamber des rangées de sièges et faire les images que je veux. Des conditions assez rares que je ne connais que très rarement, hélas. Même si je n'ai encore jamais reçu ce genre de commandes, je pense que je prendrai toujours autant plaisir à m'exercer dans ce type de condition. Au final, tout m'a été servi dans un joli plateau: La scénographie, les lumières, les costumes et la mise en scène ont été soigneusement calibrés et maîtrisés. Tout est fait pour être photogénique, il me reste plus qu'à appuyer sur le bouton en ne me souciant juste du cadre et de m'adapter à la lumière du moment -ce qui en fait une réelle gymnastique et de jonglage entre les différents modes et les réglages de l'appareil-.
La pièce se jouera dès ce soir (mercredi soir) au CREPS de Strasbourg et pendant 4 soirées, pour plus d'infos, je vous redirige par .
Sinon, c'est le 1300è post du blog!

1299- Palais universitaire


   Un petit bout d'après-midi avec Alexandre qui m'accompagnera pendant une partie de mon été. Mon agenda pour ces vacances estivales commencent à prendre forme. Beaucoup de voyages, du temps pour quelques gros boulots -si tout se passe bien-. Je croise les doigts pour que tout se passe beaucoup mieux que je l'imagine.

23.4.13

1298- La chambre claire


   Les pires moments pour un indépendant, ce sont les périodes où les commandes se font rares, les vacances en fait. Pendant ce temps où les factures ne s'enchaînent plus, on a le temps de douter, de soi-même et de la suite des évènements. Je me souviens qu'un jour, ami m'avait donné le conseil qu'il fallait que j'envisage un jour de trouver un petit boulot alimentaire à côté de la photo et ne garder à l'esprit que mon appareil photo allait toujours me fournir assez de moyens pour vivre. C'était impensable pour moi, j'avais la certitude que tout allait bien se passer, dans une fluidité et une simplicité la plus totale. Normalement, cette période calme va bientôt prendre fin mais c'est ce genre de phrase que je me répète de temps en temps et qui prend de plus en plus sens avec le temps.
Heureusement qu'avec les beaux jours, des Parisiens descendent quelques temps pour passer à Strasbourg. La ville paraît encore plus agréable qu'elle ne l'est déjà.

22.4.13

1297- Luxury - Making of. Dossier IFM Paris



Voilà mon dernier petit boulot. Réaliser un reportage vidéo d'un process créatif pour le dossier de candidature pour une école de mode d'une connaissance de chez Pigalle, Daisy Constantin. Une commande assez originale. L'IFM de Paris est la nouvelle école qui a ouvert dans la Cité de la Mode et du Design dans le 13è arrondissement et qui est apparemment très originale dans son étape de candidature. Un dossier papier à envoyer + un DVD contenant 2 films répondant à 2 thèmes créatifs à résoudre + l'enregistrement d'une réponse à une question envoyée par courrier, découverte en direct devant la caméra + un partie portfolio vidéo. Au total, une semaine de prise de vue et de montage intensif a été nécessaire et s'est avérée payante puisque la demoiselle a été finalement prise.
Cette vidéo représente une petite partie du travail qui a été réalisée durant cette semaine. À regarder en HD, évidemment.

21.4.13

1296- Marie-Charlotte


"Je crois que je me souviens comme je te le disais de tout, même de ta recette 1/4 sucre 1/4 farine 1/4 beurre 1/4 oeuf"
Avec mon début d'activité en tant qu'indépendant, j'ai totalement perdu la notion des jours de la semaine qui n'ont d'importance que d'un point de vue pratique. Les week-ends ont un peu perdu de leur statut et les jours de la semaines ressemblent beaucoup trop aux week-ends. Vivement que je bosse à nouveau et que j'ai de quoi occuper mon esprit. Il faudrait aussi que je profite aussi de ce temps de pause pour faire quelques petites escapades. J'ai horreur de ces périodes d'inactivité.
- Voilà le 100è post de l'année 2013, déjà.

20.4.13

1295- Photographe de concert


   Vendredi soir, après une série de concerts à tendance noise - garage le jeudi, passons à tout autre chose comme le métal - hardcore pour des concerts gratuits à la Laiterie pour le festival des Artefact. Connaissant bien le lieu avec les vigiles à l'entrée qui fouillent systématiquement tous les sac et qui phohibe tout appareil photographique "qui a l'air professionnel", j'avais donc pris mes précautions pour cacher mon appareil photo. D'habitude, ça marche mais cette fois-ci, j'ai amené trop d'objectifs (le boitier nu étant caché dans une autre poche). Mon sac s'est retrouvé à passer la soirée dans un placard, avec mon matériel dedans. J'assiste donc aux concerts les mains vides, parfois planquées dans mes poches, inhabituellement vides dans ce genre de situation.
Premier constat: il aurait été difficile de trouver ma place vu qu'il y avait déjà sur place un bon groupe de photographes, qui occupait toute la première rangée, cela était valable pour les deux scènes de la soirée. Un confrère s'est démarqué des autres en amenant une crosse épaule, une grosse machinerie très encombrant. Et là, en tant que simple spectateur, je les ai trouvé bien lourds ces mecs. En plein milieu d'un concert, le chanteur s'est mis à dire "Bon, par contre, faut que vous sortez les photographes maintenant, y'en a marre à la fin!". Blague ou non, les photographes sont restés. J'ai ri au début puis en y réfléchissant, plus trop. Je me suis questionné sur l'utilité de leur présence: personne voudrait payer une place de concert pour se retrouver derrière une horde de photographes avec leurs imposants matos.
Je me suis toujours senti gêné de me déplacer en concert en faisant attention pour être le plus discret possible sans bousculer ni me placer juste devant des spectateurs. J'ai connu des photographes qui s'en fichaient royalement se sentant comme particulièrement important.
Je me souviens d'une fin de concert avec ami -aussi photographe ce soir-là-, qui lors du départ et du salut poli envers l'hôte, celui-ci s'est mis à dire à son ami qu'ils nous appréciait justement parce qu'on arrivait à rester discret tout en respectant la foule. Une petite victoire qui nous rendait bien fier.
Après tout, ils font leur boulot et bossent pour la com de la salle, du festival où des groupes.
Ça me rappelle qu'en me faisant confisquer mon sac, un vigile m'a bien confirmé qu'il y avait bien des gens qui payaient pour avoir une accréditation photo. Chose absurde aussi, mais c'est une autre histoire.

- Voilà donc 2 petits clichés pris avec mon portable. J'enviais mes voisins munis d'un compact numérique. Appareil photo qui passe toujours lors de la fouille de sécurité.

18.4.13

1294- Bagarre + Zad Cokar + Ventre de Biche + Black Metal for my Funeral @ Lieu secret


Avec le temps très estival du moment, tout est plus agréable. Les cafés ont ouvert leur terrasse depuis pas quelques temps en même temps que les robes, les shorts et les lunettes de soleils sont sortis du fond des placards. Dans un petit coin de Strasbourg, près de l'eau, le centre commercial Riv'étoile a sorti les transats pour les passants. Cet atmosphère jovial me pousse à sortir plus et à accepter les bonnes oppportunités pour sortir un peu.
La suite de la soirée du mercredi: rendez-vous dans un lieu secret pour assister à quelques concerts.


C'est comme ça que je me suis retrouvé dans la zone industrielle de Strasbourg, dans un lieu polymorphe étonnant servant d'atelier, de lieu de vie. Pour se rendre dans la partie salle de concert/de répétition, il faudra descendre au sous-sol et franchir deux portes blindées. Au programme, de la saturations, des copains qui font de la musique avec des bières à la main, un sosie de jesus avec une sacré bedaine. Une bonne soirée donc.

1293- Filage


"Je t'entends comme si tu chuchotais perpétuellement"
À chaque fois que je pense que je vais un peu m'ennuyer de mon inactivité, il y a toujours un petit quelque chose qui me tombe dans les mains, une personne qui a besoin de mes service,  ce qui m'occupe un peu et me sort de mon état de larve oisive. Hier en fin d'après-midi, je me suis rendu à un filage pour une préparation d'une pièce de théâtre qui aura lieu près de Strasbourg.
Chose étrange, cette nuit, j'ai rêvé de la pièce, que je vivais l'intrigue inquiétante. Une histoire de monstre menaçant qui charme les habitants d'un monde grâce à un parfum.

16.4.13

1292- Comme un mardi


Après-midi marche dans la forêt de la Robertsau. Un environnement bien dépaysant qui fait du bien quand on a un peu envie de s'éloigner un peu de la ville bruyante et grise. Pourtant situé à moins de 20 minutes du centre ville via les transports en commun, on se retrouve vraiment face un début de campagne avec de grandes terres d'exploitations. J'ai vu aussi une calèche tirée par 2 chevaux, de drôles de bovins venus d'Écosse et un serpent d'un mètre de long (qui m'a soudainement arraché de mon état plein de poésie et de rêveries).
C'est donc une petite période creuse sans commandes qui commence, malgré ce petit repos très plaisant, j'ai bien hâte de travailler à nouveau.

15.4.13

1291- L'insaisissable


"Les ados c'est plus rigolo"
La suite de l'histoire du post 1288: Je suis donc repassé aujourd'hui devant le fameux endroit insaisissable en le redécouvrant baigné par une autre lumière, plus haute, direct et plus belle que l'autre. Le bleu des échafaudages et le blanc de l'arbre ressortaient plus que lors du dernier cliché. Impossible à prendre en photo. Je ne sais pas pourquoi je m'obstine à garder le même cadrage. Ça doit forcément venir de là. Le périple ne s'arrête pas là puisque je suis repassé à nouveau le soir-même lors d'un "footing du soir spontané" (il n'y a aucune raison que je m'en vante puisque qu'avec mes poumons de fumeurs, je ne cours pas plus de 15 minutes) avec encore une fois, une lumière encore plus belle qu'en journée -artificielle du coup-. Je me souviens de m'être dit "waouh" dans ma tête. Comme je n'avais pas mon appareil photo sur moi, je compte repasser très vite pour surmonter ce challenge. L'histoire d'une obsession ridicule d'un cadre insaisissable donc...

1290- Autoportrait


   "Eh oui, un saucisson sans pain c'est comme le Sud sans Soleil"
En ce moment, je manque cruellement de personnes à photographier. Ce qui est totalement incompatible avec mon envie du moment de développer un peu plus mes images de type portrait. Mon manque d'audace et de motivation de me dire qu'il faudrait que je contacte quelques personnes de mon entourage pour combler cette envie n'aide pas trop à me faire changer les choses. J'ai aussi pensé à démarcher les agences de mannequin aux alentours pour un "prêt" de mannequin contre images. Il paraîtrait que c'est une pratique assez courante dans le milieu. Mais il faudrait d'abord que mon portfolio soit plus axé book de mode. Ça se mort la queue donc. En attendant, je m'essaie à l'autoportrait -un exercice que je trouve d'une grande complexité, chacun connaît la grande difficulté d'être confrontée à  sa propre image- à défaut de n'avoir rien de mieux sous la main. Ma cuisine verte comme décor et mon visage fatigué comme sujet.

14.4.13

1289- Les beaux jours


"On dirait presque que cette rue est climatisée"
Parfois, c'est juste frustrant de voir ce qui semble être un cliché potentiellement intéressant et de voir qu'une fois la photo prise que le résultat ne rend pas comme on aurait voulu qu'elle aurait été. Les réglages sont bons, le cadrage simple et les couleurs à peu près fidèles mais l'esprit, ce petit quelque chose n'y est pas. Dans cette image, j'y avais vu ce bel arbre qui se mariait bien avec le bleu des échafaudages et l'escalier non-fini.
Ça me renvoie à la frustration de découvrir la non-photogénie d'une personne que l'on trouvait jolie. La non-corrélation entre les deux notions est une chose que je ne comprendrais sûrement jamais.

1288- Strasbourg joie


"Ça fait bizarre de voir des gens dans la vraie vie"
Retourner à Strasbourg, pour moi, c'est retrouver un quotidien plus léger et moins stressant. Je redeviens un étudiant loin des préoccupations professionnelles parisiennes. Aujourd'hui, j'ai passé mon après-midi à me perdre en vélo sur la frontière franco-allemande tout en châlant une demoiselle qui me parlait de tout et de rien pour finir dans un superbe dépôt de vieux wagons de marchandise rouillés.
Et puis je me souviens que je doit éditer quelques factures, devis, déclarer mon activité et le montant de mes revenus aux impôts et envoyer mon préavis pour quitter mon appartement strasbourgeois.

1287- Great Teacher


En ce moment, je commence à avoir de plus en plus de demandes de cours de photo sur Strasbourg grâce au fait que mon blog soit très bien référencé sur Google avec les mots-clés "cours de photo Strasbourg". J'apprécie toujours autant discuter photo avec des personnes tous très différentes que je n'aurais sans doute pas rencontré sans ce biais. Même si j'ai toujours autant du mal à bien être pédagogue et à exprimer clairement mes idées, chaque rendez-vous est un réel plaisir. Celui de transmettre un savoir qui est avant tout pour moi une passion avant mon métier et aussi et surtout le plaisir de faire de jolies rencontres.

13.4.13

1286- Aller - retour


"- T'as froid? - Parfois"
Jeudi soir, dernière soirée à Paris. J'ai passé toute la semaine à Paris chez ma cliente ou devant Final Cut. Puis je suis revenu à Strasbourg, aussi pour le boulot. D'habitude, lors de mes passages dans la capitale, je prenais toujours le temps de sortir un peu pour revoir les amis mais cette fois-ci, le temps m'a cruellement manqué.
Petite première, j'ai choisi Eurolines pour mon voyage de retour à Strasbourg. J'en ai surtout entendu parlé pour leur petit prix pour des longs trajets en Europe mais je ne pensais pas qu'il était aussi possible d'y faire de courts trajets dans la France. Au final, un trajet de 7heures pour économiser environ 20€ de train avec un billet de dernière minute, je ne sais pas si c'était réellement rentable.

11.4.13

1285- Rassemblement contre l'homophobie, pour l'égalité @ Hôtel de Ville Paris


Hier soir, je passe un petit tour au rassemblement qui a eu lieu hier soir à l'Hôtel de ville. Je retire mon atelle pour l'occasion. Beaucoup de gens se sont rassemblés malgré la pluie (environ 5000 d'après les organisateurs), tous unis pour défendre l'égalité et combattre l'homophobie. Je m'attendais à voir plus de gens, comme la page facebook de l'évènement annonçait plus de 10000 participants. Je suppose que les paramètres comme la pluie, l'adoption de la loi pour le mariage pour tous la veille, le match retour PSG-Barcelone au même moment et l'heure tardive du rendez-vous ont découragés plus de la moitié des motivés. La foule a scandé des slogans et porté des pancartes pendant environ 2 heures et puis le parvis est redevenu vide, comme si de rien n'était. Ensuite, je me suis un peu promener dans les quartiers alentours avant un rendez-vous pro, et je tombe sur cette rue dont le nom tombe à pic: Rue des mauvais garçons.
Pour ce qui est du résultat du match, je me suis renseigné auprès de mon chauffeur de taxi qui m'a raccompagné vers 3h du matin. PSG éliminé au match retour avec le même résultant que le match aller (match nul).
Une soirée un peu triste tout de même.

9.4.13

1284- Psychélisé


Réminescence d'une petite session foot à Strasbourg avec des gamins aussi bons qu'insupportables. À défaut d'être appelé pour couvrir de grands matches comme l'ami photographe Léo Ridet avec le dernier Paris-Barcelone, je sors l'appareil photo pour prendre en photo les petits jeunes du quartier et nos petits exploits sur les terrains du Neufdorf.

8.4.13

1283- Re-Luxation


Ça y est, je suis depuis quelques jours ficelé à nouveau (4 fois en moins de 4 ans) comme un rôti. Et je retrouve les joies d'un quotidien chamboulé par une atelle à l'épaule. Sachez aussi que je me dois de passer la nuit avec. Le pire, ce devait être de revoir la tête inquiète et soucieuse de ma mère me voyant revenir à Paris avec la même surprise qu'il y a quelques années. Malgré ce petit évènement, mon agenda se déroule comme prévu et je me libère le bras le temps de mes quelques heures. Je pense que je pourrais vite bénéficier de mon bras droit et envisager sérieusement une visite chez un kiné... En attendant, je répète plusieurs fois par jour aux nouvelles personnes qui découvrent mon nouvel état que je me suis déboîté l'épaule en jouant au foot. Et que non, je ne me suis pas fait ça en prenant trop de photos et que je pense retirer l'atelle dans environ une semaine ou deux.
Mais à part ça, tout va bien.

5.4.13

1282- Période footballistique


   "Dès qu'il fait beau, prend de belles photos de nuages"
Aujourd'hui, nouvelle session foot en fin d'après-midi. Avec les beaux jours qui arrivent et une bonne envie de faire plus régulièrement de l'exercice, taper dans le ballon me fait me plus grand bien. Par contre, j'ai pu voir que depuis mes nombreuses luxations de mes deux épaules, je suis toujours en carton. J'hésite à remettre une atelle le temps de reposer un peu mon épaule fragilisée par le foot d'aujourd'hui, puis je pense au boulot qui va vite me tomber dans les bras dès mon retour à Paris, demain.